Il y a quelques jours, je passais devant mon miroir et j’ai été bouleversé par ce que j’ai vu. Je ne reconnaissais plus l’homme qui était devant moi… Il avait arrondi de la taille, la lumière se reflétait sur son crâne dégarni, les plis bien que discrets étaient apparus sur son visage, la peau des joues semblait même un peu molle, je ne suis pas si vieux que cela quand même… Comment se fait-il que je n’aie pas vu ce qui arrivait? Pourtant cette transformation n’était pas apparue du jour au lendemain, cela s’était sûrement produit petit à petit. Pendant toutes ces années, j’avais refusé de regarder la réalité, ce n’était pas si grave, après tout c’est la vie. Mais aujourd’hui, j’étais en état de choc.
Nous faisons exactement la même chose en ce qui concerne notre relation avec Dieu. Quand on est jeune, on se dit qu’on n’en a pas besoin, on verra cela plus tard. Plus tard, on n’a pas le temps, il y a tant de choses à faire. Puis un jour, on en aurait peut-être besoin, mais on a cru pendant toutes ces années que l’on était capable de s’en sortir sans Lui, alors pourquoi le considérer maintenant? Puis finalement, c’est trop tard, on est face à Dieu et Il nous dit : « je ne te connais pas». Et c’est le choc de la réalité, d’une réalité éternelle…
Il n’est pas nécessaire que ce soit le scénario de votre vie, Jésus dit de Lui-même dans Luc 9. 56 «… le Fils de l'homme n'est pas venu pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver. » Le désir de Dieu, c’est que chacun de nous puisse être sauvé, avoir les portes grandes ouvertes du ciel. Comment avoir cette certitude? La Bible donne la réponse dans l’Évangile de Jean 1. 12 «Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu», Jean nous parle de recevoir la lumière, cette lumière, c’est Jésus. Recevoir Jésus, c’est reconnaître qu’il a payé à ma place la dette de mon péché (tout ce que je fais, qui est contraire à Dieu), le passage nous dit aussi de croire, c’est-à-dire reconnaître que le sacrifice de Jésus à la croix est suffisant, que je n’ai pas besoin de faire quoi que ce soit d’autre pour aller au ciel. La Bible dit que c’est le fait de croire qui fait de moi un enfant de Dieu, et c’est certain que Dieu va reconnaître son enfant lorsqu’il se présentera à Lui. Alors, pourquoi ne pas choisir de rencontrer Dieu comme un Père plutôt que comme un juge?
Nous faisons exactement la même chose en ce qui concerne notre relation avec Dieu. Quand on est jeune, on se dit qu’on n’en a pas besoin, on verra cela plus tard. Plus tard, on n’a pas le temps, il y a tant de choses à faire. Puis un jour, on en aurait peut-être besoin, mais on a cru pendant toutes ces années que l’on était capable de s’en sortir sans Lui, alors pourquoi le considérer maintenant? Puis finalement, c’est trop tard, on est face à Dieu et Il nous dit : « je ne te connais pas». Et c’est le choc de la réalité, d’une réalité éternelle…
Il n’est pas nécessaire que ce soit le scénario de votre vie, Jésus dit de Lui-même dans Luc 9. 56 «… le Fils de l'homme n'est pas venu pour perdre les âmes des hommes, mais pour les sauver. » Le désir de Dieu, c’est que chacun de nous puisse être sauvé, avoir les portes grandes ouvertes du ciel. Comment avoir cette certitude? La Bible donne la réponse dans l’Évangile de Jean 1. 12 «Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu», Jean nous parle de recevoir la lumière, cette lumière, c’est Jésus. Recevoir Jésus, c’est reconnaître qu’il a payé à ma place la dette de mon péché (tout ce que je fais, qui est contraire à Dieu), le passage nous dit aussi de croire, c’est-à-dire reconnaître que le sacrifice de Jésus à la croix est suffisant, que je n’ai pas besoin de faire quoi que ce soit d’autre pour aller au ciel. La Bible dit que c’est le fait de croire qui fait de moi un enfant de Dieu, et c’est certain que Dieu va reconnaître son enfant lorsqu’il se présentera à Lui. Alors, pourquoi ne pas choisir de rencontrer Dieu comme un Père plutôt que comme un juge?