Dans quelques semaines, nous profiterons du congé de Pâques. Après un hiver froid, nous aurons bien besoin de ce temps de repos, où nous en profiterons pour nous remplir le ventre de sirop d’érable et de chocolat. Pâques est-il seulement un congé et une histoire de chocolat? Est-ce encore important de parler de cette croix vide et de ce tombeau où un certain Jésus n’est plus? Bien que nous ne voulons pas parler de cette histoire, il semble que notre quotidien en est marqué, parce que nos valeurs découlent qu’on le veuille ou non de ce que Jésus a enseigné il y a 2000 ans.
Pour commencer, il faudrait peut-être simplement se rappeler ce qu’est venue changer la croix. Avant la croix, les hommes devaient respecter un ensemble de lois et de règles, cherchant à être parfaits pour satisfaire si possible un Dieu parfait ou aucun péché ne peut subsister dans sa présence. Dans la réalité, personne n’était en mesure de satisfaire les exigences de Dieu. On le sait personne n’est parfait, la Bible dit dans Romains 3.23 « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ». Alors chaque fois que l’on essaie par nous-mêmes de plaire à Dieu, en tentant d’être une bonne personne, de faire le bien, nous nous retrouvons avant la croix. Va t’on réussir à gagner notre ciel, il semble que non, si on se fie à la Bible. La croix est venue changer tout cela, Jésus en mourant sur la croix et en confirmant qu’il était Dieu par sa résurrection, venait accomplir ce qu’aucun être humain ne pouvait faire par ses propres forces, ouvrir les portes du ciel. Dans Colossiens 1:20 on peut lire « il a voulu par lui tout réconcilier avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. Et dans Col 2:14 il a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l’a éliminé en le clouant à la croix ; Sur la croix Jésus a pris sur lui notre condamnation, tout ce qui nous séparait de Dieu, déclarant que tout était payé. Plus d’effort pour tenter de plaire à un Dieu parfait. Je peux avoir cette certitude que je suis réconcilié avec Dieu une fois pour toutes, si je crois que tout est payé par Jésus.
La croix est importante seulement si tu veux être réconcilié avec Dieu, et que tu reconnais en être incapable par toi-même, qu’en penses-tu?
Pour commencer, il faudrait peut-être simplement se rappeler ce qu’est venue changer la croix. Avant la croix, les hommes devaient respecter un ensemble de lois et de règles, cherchant à être parfaits pour satisfaire si possible un Dieu parfait ou aucun péché ne peut subsister dans sa présence. Dans la réalité, personne n’était en mesure de satisfaire les exigences de Dieu. On le sait personne n’est parfait, la Bible dit dans Romains 3.23 « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ». Alors chaque fois que l’on essaie par nous-mêmes de plaire à Dieu, en tentant d’être une bonne personne, de faire le bien, nous nous retrouvons avant la croix. Va t’on réussir à gagner notre ciel, il semble que non, si on se fie à la Bible. La croix est venue changer tout cela, Jésus en mourant sur la croix et en confirmant qu’il était Dieu par sa résurrection, venait accomplir ce qu’aucun être humain ne pouvait faire par ses propres forces, ouvrir les portes du ciel. Dans Colossiens 1:20 on peut lire « il a voulu par lui tout réconcilier avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. Et dans Col 2:14 il a effacé l’acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l’a éliminé en le clouant à la croix ; Sur la croix Jésus a pris sur lui notre condamnation, tout ce qui nous séparait de Dieu, déclarant que tout était payé. Plus d’effort pour tenter de plaire à un Dieu parfait. Je peux avoir cette certitude que je suis réconcilié avec Dieu une fois pour toutes, si je crois que tout est payé par Jésus.
La croix est importante seulement si tu veux être réconcilié avec Dieu, et que tu reconnais en être incapable par toi-même, qu’en penses-tu?