Les derniers événements de l’actualité m’ont fait beaucoup réfléchir. Deux soldats, un à Saint-Jean et l’autre à Ottawa, se sont levés un matin d’octobre pour faire leur journée de travail comme toutes les autres, pas une journée au combat, non une journée toute simple. Ils ont probablement pris le temps de saluer leurs proches avant de partir, une journée ordinaire comme des centaines d’autres, des journées ordinaires comme les nôtres. Ils n’avaient aucune idée que ce serait leur dernière journée. Malheureusement la plupart d’entre nous, nous vivrons un peu la même chose, on se lèvera un beau matin et ce sera notre dernière journée. Le problème, c’est que l’on ne nait pas avec une date d’expiration, ce qui nous donnerait tout le temps de nous y préparer. Quand nous sommes jeunes, nous ne voulons pas penser qu’un matin ce sera notre dernière journée. Et quand nous sommes plus âgés ou même malades en fin de vie, nous nous disons que demain n’est sûrement pas le dernier jour. Alors nous nous préparons quand? Pourquoi pas une seconde avant notre mort? S’il n’y avait rien après cette vie terrestre, ce serait une option intéressante! Mais pouvons-nous prendre ce risque?
J’aimerais mieux me taire, mais un jour nous aurons tous à nous présenter devant Dieu. Un Dieu qui aime, mais aussi, un Dieu juste. Il nous dira : je t’ai tellement aimé, j’ai tellement désiré que tu puisses être réconcilié avec moi, que j’ai même payé ta dette en envoyant mon Fils mourir sur la croix à ta place. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16). Mais que fait-on de son amour? À celui qui a reconnu son besoin d’être réconcilié, qui reçoit le pardon offert à la croix, Dieu dit : entre dans ma joie. Mais à celui qui refuse l’amour de Dieu, ouvertement ou parce qu’il désire attendre une seconde avant sa mort et que malheureusement, il n’aura pas eu le temps, Dieu dira : parce que tu as refusé mon amour, tu devras faire face à ma justice. Et la justice de Dieu dit : « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ». (Romains 3.23)
N’attendons pas une seconde avant notre mort, car… « Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut ». (2 Corinthiens 6:2)
J’aimerais mieux me taire, mais un jour nous aurons tous à nous présenter devant Dieu. Un Dieu qui aime, mais aussi, un Dieu juste. Il nous dira : je t’ai tellement aimé, j’ai tellement désiré que tu puisses être réconcilié avec moi, que j’ai même payé ta dette en envoyant mon Fils mourir sur la croix à ta place. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16). Mais que fait-on de son amour? À celui qui a reconnu son besoin d’être réconcilié, qui reçoit le pardon offert à la croix, Dieu dit : entre dans ma joie. Mais à celui qui refuse l’amour de Dieu, ouvertement ou parce qu’il désire attendre une seconde avant sa mort et que malheureusement, il n’aura pas eu le temps, Dieu dira : parce que tu as refusé mon amour, tu devras faire face à ma justice. Et la justice de Dieu dit : « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu ». (Romains 3.23)
N’attendons pas une seconde avant notre mort, car… « Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut ». (2 Corinthiens 6:2)